Activités en 2012
Couvin (15/07/2012)
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- Création : 1 août 2012
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15 juillet 2012, 8h00 : il pleut à seaux ! Aurons-nous des candidats pour les activités prévues pour la journée ? Rien n’est moins sûr. Mais puisque c’est nous qui organisons : quand faut y aller, faut y aller !
Un petit détour par la boulangerie et direction Grottes de Neptune. Encore personne mais quelques messages 7 désistements sur 8 pour les inscrits non GSC. Par contre, dès 9 heures les spéléos arrivent en force : ils seront 6 à 9h30 (dans l’ordre d’arrivée : Louis, Delphine, Claudine et Yves, Pascale et Daniel). Surprise de taille, notre président s’en est octroyée une, celle de ses cheveux !
Croissant(s) et/ou couque(s) au chocolat et café offerts par la maison ! Certains s’en souvenaient, d’autres pas. Mais tous et toutes ont pu se régaler avant un départ qui, s’il n’était pas sous le soleil, n’était déjà plus sous la pluie.
La matinée a été consacrée à une balade à la découverte de la nature entre les grottes et le Tienne du Lion commentée avec compétence par Agnès, suivie avec attention par toutes, mais pas par tous. Si Louis était le plus assidu et le plus intéressé du côté masculin, il a fallu rappeler à l’ordre quelques uns dont les apartés et le timbre perturbaient quelque peu les participant(e)s.
Balade entamée sous un temps sec ne veut pas dire que nous ne fûmes pas mouillés. La pluie s’est invitée alors que nous étions sur le tienne et a perduré jusqu’au retour aux Grottes. Ce qui fait que nous ne nous sommes aperçus que nous avions perdu Claudine qu’au moment où mon gsm s’est mis à sonner ! Mais que tous soient rassurés, nous l’avons récupérée à temps pour la rando de l’après-midi.
Casse-croûte au chalet des Grottes où nous ont rejoints Laurent, Michel et Kévin, Philippe et Priscilla.
Le départ pour la rando de l’après-midi se fit lui aussi sous la pluie. Mais comme celle-ci ne put nous arrêter, ce fut elle qui s’éloigna et ce fut sous un soleil très présent que se déroula l’après-midi.
Aucune péripétie majeure pour cette balade : personne ne s’est perdu, sauf peut-être le guide à un moment. Mais il est vite retombé sur ses pattes (ou plutôt sur le bon chemin). Beaucoup de hauts et de bas (plus de 1800 mètres de dénivelés cumulés) même si la distance ne fut pas exceptionnelle, quelques « arrêts sur images » pour constater combien certains de nos congénères humains peuvent être (pour rester poli) « irrespectueux ou sans gêne vis-à-vis de la nature », un petit dérapage dans la boue sans gravité (le dérapage, pas la boue), une petite pause chocolat, une petite sieste sur la Roche Albéric et retour au point de départ.