Activités en 2012

Sainte-Anne revisitée (22/09/2012)

Ce samedi 22 septembre 2012 Glodi, Michelle, Véronique, Laurent, Vincent, Marc et Louis se sont donnés rendez-vous à Tilff pour une spéléo aquatique dans les méandres de la rivière qui y coule.

Portant bien son nom de grotte école, la cavité ne présente pas de difficulté apparente au premier regard puisqu’il s’agit d’un long boyau où l’on progresse la plupart du temps debout.  Ensuite apparaissent quelques amuse bouche, une boîte aux lettres suffisamment exigüe pour donner quelques sensations de claustro aux jeunes recrues, le tout agrémenté de jolies concrétions, gours, ponts de calcite et même de jolis bassins à l’eau très limpide au long du parcours.

Après avoir atteint le bout extrême nous sommes revenus sur nos pas avec la ferme intention de franchir la bassinoire, sorte de couloir étroit de qq mètres de long empli d’eau dont le plafond dans sa partie la plus basse ne laisse qu’une vingtaine de cm pour y passer la tête. On n'y voit guère mais on s’y engage malgré la température de l’eau fort rafraichissante. C’est alors que surpris, on se rend compte qu’on perd pied, on tente de remonter mais le casque sur la tête heurte le plafond et croyant respirer on ouvre toute grande la bouche pour… se rincer la gorge un bon coup!

Le temps de cesser de rêvasser, on regagne au plus vite la sortie de cette marmite sans fond. Tant qu’à rester dans l’humide on s’est ensuite dirigé vers la Méduse et on a poursuivi à quatre pattes dans la rivière jusqu’au siphon. Sur le chemin du retour, on a aperçu sur notre gauche une sorte de petit escalier menant à de très jolies draperies à la blancheur immaculée, merci Sainte Anne, "karcherisée" à souhait qui semblait ostensiblement être le fruit du labeur de nos grands schtroumpfs de l’UBS. Magnifique travail, il est vrai, mais qui donne surtout une idée de l’ampleur de ce qu’il reste à faire !

La journée s’est terminée par les festivités habituelles en compagnie de nos charmantes anglaises, Glodi et Michelle.

A refaire, histoire d’user nos néoprènes.

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